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est contemporaine du lotissement qu'il édifia en 1794. Il subsiste dans le bâti quelques vestiges du

donnant sur la rue des Carmes, a été surélevée d'un niveau dans les années 1920, ce dont témoigne le large bandeau séparatif entre le deuxième et le troisième étage carré, et dont le second corps de logis, séparé taille et à la forme du toit original. Le toit à pans brisés incurvé accueille une lucarne, preuve que le pourvues d'un linteau. Le rez-de-chaussée est occupé par un commerce avec devanture - une boucherie. Le balconnet de fer ; elles reçoivent un appui mouluré et viennent heurter le bandeau séparateur en ciment légèrement saillant. Le troisième étage carré, surélevé, reprend le même principe que le niveau inférieur, et piétonne. La maison joue sur les camaïeux de blanc : blancheur de la pierre d'angle, des encadrements de complémentaire : rouge et jaune de la brique, rouge aussi des corbeaux. Le décor est aussi formel, entre Charretiers, tout comme la lucarne sur rue. Le bandeau décoratif peut d'ailleurs évoquer, de façon très

Cette maison semble dater du 16e siècle, comme tendent à le montrer l'escalier en vis en bois à l'extérieur, et adoucissant la pente de toiture. En 1813, le bâtiment appartient à Pierre , création et/ou agrandissements d'ouvertures). Dans la seconde moitié du 20e siècle, le bâtiment devient un

un étage de soubassement servant de cave. Son rez-de-chaussée surélevé est accessible depuis le nord sont en bois pour les plus anciens, ou en béton. Le toit à longs pans et à croupe est couvert en tuile

Frazé - Le Bourg - 3 rue du 8 mai 1945 - isolé - Cadastre : 1813 H 158 2016 AB 84

Vue générale depuis le nord-ouest. IVR24_20172800424NUCA Vue de la toiture depuis le sud-est (visible : petit toit en bâtière couronnant la tour d'escalier

Le bâtiment semble figurer sur le plan cadastral de 1812. Il pourrait dater du 18e ou du début du

Le bâtiment semble figurer sur le plan cadastral de 1812 (parcelle C 223). (Archives

La maison semble en grande partie figurer sur le plan cadastral de 1812. Possiblement attribuable du 20e siècle. L’étable est désignée comme étant une grange en 1906. Cette année là, le petit

escalier longeant le mur gouttereau ouest mène à l’entrée principale abritée sous un auvent en tôle ondulée

La maison est en grande partie portée sur le plan cadastral de 1812 (parcelle B 548), dans le haut Vue de la ferme depuis le sud-ouest. IVR24_20153600164NUC2A Vue de la ferme depuis le sud. IVR24_20153600154NUC2A

La maison correspond à l'extrémité ouest d'un long bâtiment porté sur le plan cadastral de 1812

Une maison différente de l'actuelle et une dépendance sont portées sur le plan cadastral de 1812 (parcelles A 477 et 478), dans le haut de l'image. (Archives départementales de l'Indre Vue de la maison depuis le sud. IVR24_20163600307NUC2A Vue de la maison depuis le sud-est. IVR24_20163600308NUC2A

La maison ainsi qu'un bâtiment agricole (aligné à l'ouest) sont portés sur le plan cadastral de

moellons en grès). Elle est en rez-de-chaussée à comble à surcroît. L'accès s'effectue par le mur

Une maison et un autre bâtiment sont portés sur le plan cadastral de 1812 (parcelles B 500 et 507 Vue de la maison depuis le nord-est. IVR24_20153600569NUC2A

La maison figure sur le plan cadastral de 1812. Elle a été modifiée certainement à partir de la fin

Les bâtiments sont portés sur le plan cadastral de 1812 (parcelle 112,113,114,116,117), dans le bas Vue de la maison depuis le sud-ouest. IVR24_20153600111NUC2A

Des maisons sont portées sur le plan cadastral de 1812. En 1860 et 1872, les matrices cadastrales

Des maisons sont portées sur le plan cadastral de 1812 (parcelles B 876, 877, 883, 884), dans le Vue de la dépendance depuis le sud. IVR24_20153600541NUC2A

Une maison et un autre bâtiment sont portés sur le plan cadastral de 1812. L’édifice semble avoir

croupe, est en tuile plate. Sur le mur-pignon ouest s’appuie un appentis (toit à porcs ?) également en tuile plate. Deux poulaillers se trouvent à l’ouest de la maison, le long d’une ruelle.

La maison et la dépendance alignée à la route semblent portées sur le plan cadastral de 1812 Vue de la maison depuis le nord-est. IVR24_20163600294NUC2A Vue de l'étable depuis le nord-ouest. IVR24_20163600295NUC2A

Deux bâtiments (maisons) sont portés sur le plan cadastral de 1812, à l’emplacement de l’édifice moitié du 19e ou au début du 20e siècle. Un four et une cheminée, dans le mur-pignon ouest, ont été

La maison (deux bâtiments) est portée sur le plan cadastral de 1812 (parcelles B 267, 268), dans le Vue de la maison depuis le sud-est. IVR24_20163600266NUC2A Vue de la maison depuis le nord. IVR24_20163600269NUC2A Vue de la dépendance (étable ?) à l'extrémité est de la maison, depuis le sud Vue des traces d'une cheminée dans le mur séparant la maison de la dépendance est

La maison semble figurer sur le plan cadastral de 1812. Elle a toutefois fait l’objet de

La maison est portée sur le plan cadastral de 1812 (parcelle B 660), dans la gauche de l'image Vue de la maison élémentaire depuis le sud-ouest. IVR24_20153600332NUC2A

Deux maisons sont figurées sur le plan cadastral de 1812. La partie nord-ouest de la maison

extrémité, une ancienne pièce d’habitation équipée d’une cheminée, d’une pierre d’évier (insérée dans le mur . Son accès est en mur-pignon est (l’escalier qui le desservait à disparu). En rez-de-chaussée de l’aile

Deux petites maisons sont portées sur le plan cadastral de 1812 (parcelles A 1288, 1289, 1290 ), dans le bas de l'image.(Archives départementales de l'Indre). IVR24_20153600439NUC2A Vue de l'élévation nord de la partie ouest de la maison depuis le nord-ouest Vue de la pierre d'évier dans le mur-pignon sud-ouest de la maison alignée à la rue

sur l'emplacement de l'ancienne église paroissiale Saint-Victor. Il est déjà visible sur le cadastre

, l'édifice est construit en pan de bois à grille à deux étages carrés. Le rez-de-chaussée conserve un ancien façade est pour une partie en pan de bois à motif de grille, et pour le reste en maçonnerie enduite. La pour l'autre. La couverture est à longs pans et le toit est en ardoise. Un soupirail sur la façade

Le bâti a été remanié au cours du temps. La pente modifiée du toit sur rue, plus douce que l'autre

carrés à trois travées régulières, avec un toit à longs pans recouvert d'ardoise. Le rez-de-chaussée est occupé intégralement par la boutique - on remarque à l'intérieur du commerce, à l'extrême droite, le volets en bois à deux portes brisées à panneaux. Le balconnet filant en métal à motifs de croisillons réunit les trois baies. Celles de l'étage supérieur sont de dimensions plus petites ; elles reçoivent le , témoigne du soin apporté à l'ensemble. Le pignon sur la rue des Grands Champs montre un gabarit cette lucarne à croupe sur le toit. Le plan d'alignement de 1813 montre que les numéros 68 et 70